Troisième lettre d’Israël : Interview avec Arnon Goldfinger, 2e partie
« La mémoire dans le placard »
Deuxième partie de l’interview de Chantal Ringuet avec Arnon Goldfinger, réalisateur du film Hadira (The Flat ), 2011.
Photo: Ruth Diskin Films
Entretien avec Louis-Bernard Robitaille à l'occasion de la parution de Dernier voyage à Buenos Aires (éd. Noir sur Blanc, coll. «Notabilia»). Roman à la premier personne d’un jeune Américain, de bonne famille (Rhode Island), qui débarque à Paris dans les années 1960, où il rencontre Magda, qui va bouleverser sa vie. Roman d’apprentissage, évocation d’une ville mythique, quête identitaire d’une fille à qui l’époque ne permet pas d’aimer son père comme elle le voudrait, le roman raconte tout cela. L’auteur est depuis longtemps correspondant du quotidien montréalais La Presse à Paris et signe là son 5e roman. Passages savoureux sur les téléphones à jetons, les œufs durs qui traînent sur les comptoirs des bistros et les bus à plateforme - entre autres objets des sixties à Paris. L'entretien, réalisé avec Marie-Andrée Lamontagne, fut diffusé une première fois à l'antenne de Radio Ville-Marie et est repris ici avec son aimable autorisation.
Pour découvrir l'intégralité de l'entretien, cliquez sur le lien.
Reproduit avec l’aimable autorisation de Radio Ville-Marie.
© 2013, Marie-Andrée Lamontagne
Photo: Martine Doyon
« La mémoire dans le placard »
Deuxième partie de l’interview de Chantal Ringuet avec Arnon Goldfinger, réalisateur du film Hadira (The Flat ), 2011.
Photo: Ruth Diskin Films
Magie des lieux : de Pondichéry à Walden Pond, à l’ombre des bougainvilliers et des érables et dans la lumière de l’été indien.
Aliette Armel
Photo: Tadeusz Kluba
Un écrivain ne se répète jamais. La preuve?
Luc Lang
Ce que j'écris ici n'est pas une viande froide, comme disent avec cynisme les journalistes. Le plat est brûlant au contraire. Mavis Gallant n'est plus. Pourquoi diable faudrait-il que je donne un nom à ce texte que personne ne m'a demandé d'écrire et qui n'est peut-être qu'une tentative d'exorciser le geste brutal de la disparition?